Les investisseurs distinguent souvent les titres à croissance élevée (dis « growth ») et les titres de valeur (dis « value »). Cette distinction à pour but de tenir compte de la croissance espérée future dans l’appréciation de la valorisation du cours de l’action. En effet, c’est la seule manière réaliste de comparer une société en pleine croissance avec une société dont l’activité s’est stabilisée.
Selon le contexte du marché, et selon l’appétit au risque des investisseurs, ces derniers vont plutôt chercher le risque et le potentiel de gains avec les titres de croissance, ou au contraire, chercher à se réfugier dans des valeurs plus défensives au potentiel de baisse plus limité en cas de secousses sur les marchés.
De manière intuitive, les évolutions des actions de sociétés devraient suivre l’évolution des bénéfices de la société. Plus une société fait croître ses bénéfices, plus la création de valeur actionnariale devrait être élevée.
Toutefois, les taux d’intérêt et les injections de liquidités par les banques centrales ont créé des distorsions dans cette relation entre bénéfices et évolution des cours de l’action.
Voici quelques exemples de valeurs bien connues.
Les investisseurs distinguent souvent les titres à croissance élevée (dis « growth ») et les titres de valeur (dis « value »). Cette distinction à pour but de tenir compte de la croissance espérée future dans l’appréciation de la valorisation du cours de l’action. En effet, c’est la seule manière réaliste de comparer une société en pleine croissance avec…
De manière intuitive, les évolutions des actions de sociétés devraient suivre l’évolution des bénéfices de la société. Plus une société fait croître ses bénéfices, plus la création de valeur actionnariale devrait être élevée. Toutefois, les taux d’intérêt et les injections de liquidités par les banques centrales ont créé des distorsions dans cette relation entre bénéfices…
Depuis la fin des années 1970 et le début des années 1980, la plupart des pays développés n’ont pas connu d’inflation. Au contraire, les taux d’inflation n’ont pas cessé de baisser, entraînant à la baisse les taux d’intérêt. Quarante ans de désinflation Ce phénomène de « désinflation » s’explique par trois facteurs. Le premier facteur est celui…