A l’horizon 2018, les autorités fiscales suisses disposeront d’un accès facilité à des informations sur le patrimoine des contribuables, par le biais de l’entrée en vigueur du nouveau régime de l’échange automatique de renseignements au plan international.
Pour les contribuables suisses qui disposent d’avoirs, tant mobiliers qu’immobiliers, non déclarés à l’étranger, le temps n’est plus à la procrastination. Le risque d’être amendé pour avoir caché des éléments de patrimoine à l’étranger doit les inciter à agir très rapidement. Ils bénéficieront ainsi des avantages liés à une déclaration appelée «dénonciation spontanée».
Si le contribuable « s’auto-dénonce », les conséquences pécuniaires de cette dénonciation spontanée se révèlent très avantageuses. Mais il convient de souligner que les contribuables doivent annoncer l’intégralité des avoirs qui n’auraient pas été déclarés. En effet, une déclaration partielle risque de leur faire perdre la qualification de « dénonciation spontanée » et ils pourraient être amenés à payer une amende pour soustraction.
L’aide de professionnels spécialistes du domaine fiscal est hautement recommandée.
LGH Financial Strategy est à même de fournir un soutien efficace dans le cadre de déclarations spontanées grâce aux compétences qu’elle réunit et aux spécialistes qui l’épaulent dans ce domaine.
Toutefois, il est illusoire d’imaginer que seuls les déposants étrangers ont à redouter ce que l’on appelle communément « la fin du secret bancaire ».
Que les résidents suisses qui détiennent des avoirs dans les banques suisses ne se méprennent pas : l’idée que les contribuables suisses peuvent toujours se réfugier derrière le secret bancaire « en Suisse » doit être considérée comme un pari dangereux, même à court terme.
En effet, depuis 2014, la Suisse a transposé les règles du Groupe d’action financière (GAFI) dans son droit national. Ces nouvelles normes considèrent désormais la soustraction fiscale comme une infraction préalable au blanchiment d’argent. Les banques ainsi que les intermédiaires financiers vont intensifier leur procédure de conformité (due dilligence) afin d'éviter toute poursuite pénale. Cette tendance s'accentue de jour en jour au point que même un simple retrait d'argent cash devient très compliqué.
Les conseils avisés de LGH Financial Strategy sont pleinement profitables aux clients ne disposant d’actifs qu’en Suisse.
En outre, les contribuables doivent songer à faciliter la situation de leurs futurs héritiers : LGH Financial Strategy est un partenaire de choix dans le processus d’une bonne planification patrimoniale et successorale.